Ce matin c’était la RANDURO COURGETTE #2 à Saint-Florent Sur Auzonnet (30).
J’y étais allé dès hier soir histoire de pioncer un peu plus ce matin. Mais avant ça, j’ai été bien reçu par Dirk et sa femme (qui ne m’attendaient pas !) dans les derniers préparatifs de leur organisation. J’ai aussi croisé Fantouche Alote et ses amies qui étaient aujourd’hui bénévoles sur le point de ravitaillement.
Bonne ambiance, bénévoles motivés, bienveillance… Ça sent la bonne humeur là-bas, sans se prendre le chou !
Ce matin, réveillé à 7h20, je retrouve les potes qui ont fait la route et on s’élance sur le parcours de 34km et 1200m de d+ vers 8h00.
La Spéciale 1 était, selon moi, très « enduro » et mettait bien en jambes, avec du pédalage, des relances sur les montagnes russes en bas.
Sur la Spéciale 2, on a en fait raté le panneau de départ et on l’a tous descendu plutôt « chill » en croyant qu’on était dans une liaison. Cette spéciale était remplie de cailloux saillants et c’était le festival de la crevaison.
On remonte puis on repasse au ravito qui était vraiment bien achalandé toute la matinée et on part sur la Spéciale 3. C’était clairement la spéciale la plus technique et engagée de la matinée, avec un gros travail de shape et de nettoyage, avec plein de petits sauts à enchainer sur le bas. On est d’ailleurs passés au milieu d’un joli cahot de rochers (voir les photos) assez impressionnant. Malheureusement, juste avant, Antoine se gaufre, casse son levier de frein et se le plante dans le genou. Saignement abondant, arrêt de la rando pour lui… 3 points de suture.
Une fois en bas, on regrimpe encore en haut de la colline (montagne ?) et on prend la spéciale 4 qui est tracée dans un secteur assez proche de la 3, mais qui propose des lignes plus rapides, plus arrondies, entre les feuillus en haut, les conifères au milieu, puis sur un sol de résidus miniers en bas (?) (Comme à La Grand Combe ?).
Les copains qui roulent forts ont aimé la 3, j’ai préféré la 4 puisqu’elle pardonnait plus…
De retour dans le village, on le traverse en passant dans les ruelles escarpées puis on monte de l’autre coté de la vallée de l’Auzonnet pour aller chercher le départ de la Spéciales 5 au milieu des conifères bien espacés. Il y a là de belles lignes shappées au milieu des gros cailloux. Ça engage un peu par endroits, ça penche, mais il y a du grip et c’est vraiment fun à rouler !
Il reste une dernière montée vers la Spéciale 6. Je la fais à fond avec Elliot. On se crame bien mais arrivés en haut, on voit le Facteur qui nous attend assis sur un caillou. Je n’ai même pas vu quand il nous a doublé biturbo ! #abusé
Le départ de la Spéciale 6 est tout en pédalages, avec des dévers, des épingles serrées, des montées coups de culs… J’aime moins. Mais en bas, on se retrouve sur la piste de DH de Dirk, celle que j’avais fait à pieds hier soir. Il y a plein de gars qui sont posés à côté des passerelles à les regarder, je prends direct la plus grande des deux. Je suis Brandon Semenuk dans ma tête ! LOL
Et « schclaaang » la fourche ! #talonnage
En dessous, je prends les dernière photos des copains.
Ouais, moi je pars devant les potes, je les prends en photos sur les spéciales, puis je les rattrape en montées. LOL
A l’arrivée, 1 bière artisanale, 1 bon sandwich saucisses-courgettes… Pwwwwooaaaa, c’était vraiment super comme matinée de VTT !
Merci à tous les bénévoles !
J’ai n’ai pas pris que les copains en photos, identifiez les gens que vous reconnaissez dans les commentaires.