Ma Nouvelle Öhlins RXF38

Il faudrait avoir l’œil pour voir le changement puisque je conserve le même débattement (170mm), mais voilà, je passe sur une fourche RXF 38 m.2 de chez Öhlins Racing – Mountain Bike, à la place de mon ancienne RXF 36 m.2.

C’est toujours une cartouche TTX18, encore un offset de 44mm, mais elle fait 2mm de diamètre de plus au niveau des plongeurs.

Merci à X1 Racing Suspension qui, avant de poster les suspensions neuves ou d’occasions, les ouvre pour vérifier si la lubrification en usine n’est pas bâclée (avec souvent trop de graisse, mais plutôt chez d’autres marques), et remplace l’huile par de la haute-performance de leur recette.

Trophée d’Enduro des Alpes // Oz en Oisans 2022

Après la découverte d’une manche du TEA (Trophée d’Enduro des Alpes) à Vars en juillet avec le potes, je m’étais inscrit, le soir même de mon retour, à la manche d’Oz en Oisans tellement le week-end avait été bon !
Ce week-end, je n’étais donc pas aux Gets sur le côté de la piste (comme tout le monde) mais sur le VTT avec François le Facteur et un ami, Loïc, qui s’est mis au VTT il y peu, et qui s’est lancé le défi de faire cet enduro sans aucune expérience en bikepark ni sur des circuits « randuro ». 🤓
Vu le profil de la course (un peu comme à Vars, avec juste 700m de d+ en liaisons), ça pouvait passer !
Samedi, on a découvert les spéciales d’Oz en Oisans que j’ai adoré ! La spéciale 1, très rapide en haut, était plutôt facile avec beaucoup de virages en singles, des coupes.
La spéciale 2, de l’autre coté de la station, attaquait par une partie technique, parfois trialisante et bien caillouteuse dans les prairies puis ensuite, dans la forêt, le single penchait plus et serpentait dans de la bonne terre.
La spéciale 3 était assez violente. Ça tapait dans les rochers, les dalles, ça passait sur des grandes passerelles, puis en bas il y a avait plein de poussière dans les virages creusés remplis de cailloux… Une spéciale brise roues !
La spéciale 4 commençait sur une ligne bikepark avec quelques virages bien pentus (dont 2 totalement « savonnette » sur de la glaise mouillée par une source) puis après une ligne droite à plat bien rapide, on rentrait dans la forêt pour s’enquiller un enchainement magnifique de virages et multi-lignes dans la terre fraiche et les épines de mélèzes. C’était un régal ! Une des meilleures spéciales d’enduro que j’ai pu faire !
La spéciale 5, c’était la piste permanente la Mad’Oz, bien défoncée, avec des passages en prairies et des appuis des gros appuis, puis des passages sur les dalles, dans les cailloux. C’était parfois engagé, plus proche d’une piste de DH, mais c’est un beau tracé !
Pendant la journée de samedi, dès la spéciale 1, Loïc se rend compte que son frein arrière ne fonctionne pas bien, puis dans la seconde spéciale qu’on reconnait (la 4), il se boite et tord son cintre. Impossible d’en trouver un autre sur place. il a dû descendre à l’Alpe d’Huez pour en acheter un et se faire faire une purge du frein chez Rocky Sports – Alpe d’Huez, puis s’est ensuite fait remonter par les Maillard pour parvenir à reconnaitre la 5.
Journée galère pour le nouveau Pierre Richard de l’Enduro qui n’a donc pas pu reconnaitre la 2 et la 3 (les plus techniques !).
Pendant ce temps-là, avec François, on a fait les spéciales 4-5 deux fois, et les 1-2-3 une fois… Mais comme la Facteur a crevé à plusieurs reprises (voir la belle photo sur la dalle dans la 5) et qu’il a commencé à un peu trop décoré ses pneus avec des mèches, il s’est arrêté et je suis retourné me faire la spéciale 1.
Avec 8 spéciales dans la journée, je me suis bien gavé !


Dimanche, embarquement prévu à 9h23… On arrive au départ de la spéciale 1 bien trop tôt. On poireaute un moment puis on démarre.
Comme un con, je regarde trop devant ma roue et je rate une coupe en haut, mais la descente se passe bien.
Loïc arrive en bas après une bonne attente, mais c’est déjà bien !
Le Facteur n’a pas vu l’arrivée de la spéciale et à continué à fond en liaison ! MDR Il a le feu lui !
On monte vers la spéciale 2. Au bout de la liaison, Loïc semble cuit… pourtant il reste une bonne liaison en bas, et le reste de la course !
Dans la spéciale 2, je pars derrière Étienne qui va m’ouvrir la piste tout le long. Il galère autant que moi sur le haut. Je manque de me mettre un OTB. Mais dans la forêt, c’est trop bon même si je commence à avoir mal aux mains !
En bas de la 2, je remonte avec le Facteur, on n’attend pas Loïc.
On monte au départ de la spéciale 3 et je l’appréhende un peu. Le jeune en semi-rigide parti derrière moi me fume ! Incroyable ! En bas c’est hyper-défoncé, je fais des tous droits dans les épingles, je tape partout, je glisse dans la poussière. Mais le calvaire se termine vite après m’être fait doubler 3 fois.
Derrière, il y aura la spéciale 4, et là je sais que je vais kiffer !
En bas de la 3, au ravito, on croise Loïc qui arrive de la 2. Le Facteur lui donne quelques conseils pour qu’il termine (survive à) la 3. On le quitte en se demandant si on va le retrouver… 😅
Avant le départ de la spéciale 4, on apprend qu’il y a pas mal de gamelles dans les virages glissants du départ. Je passe donc à 2km/h là-dedans. Puis dans la forêt, c’est le régal ! Tu sens la terre qui remonte dans les mollets, ça gicle dans les appuis, ça tient sur les racines, t’as l’impression d’être bon ! Je pourrais la refaire 10 fois cette spéciale ! Même pas doublé une fois !
On remonte vers la dernière après un nouveau passage au super ravito où il y a même deux jeunes qui font un concert de rock. L’ambiance est au top sur ce TEA !
Le facteur part devant moi dans la 5 et je le suis presque jusqu’aux dalles. D’ailleurs, il était soucieux de ne pas crever encore, mais ça passe pour lui.
Après les dalles, je me fais la coupe à gauche, sauf que je n’arrive pas à tourner en angle droit sur la gauche: technique du planté du pied gauche, rotation compas du vélo, et gooo dans les cailloux. 😆
Le bas est très glissant, mais je m’amuse bien à aller chercher les petits appuis, et puis mon VTT marche super bien, il absorbe tous les (gros) chocs à tel point que je décolle sur un appel en pierres et en l’air j’ai le temps de me dire « houlalalalaaaa, c’était pas prévu ça ! » Baaammmm, j’atterris et ça continue !
A l’arrivée, résultat minable encore, 203è scratch (sur 327 le samedi) et 31è master 40 sur 43 à l’arrivée (51 au départ), mais quel plaisir !
François termine 147è scratch, 6è master 50 sur 15 à l’arrivée (18 au départ)… Un peu déçu le Facteur puisqu’il était monté sur le podium à Vars.
Quand à Lolo, il a débarqué à l’arrivée 1h10 après nous, couvert de poussière après 4 gamelles, et c’est lui le 43è Master 40… mais il l’a fait ! C’était pas gagné d’arriver au bout ! Bravo !
Prochaine réjouissance pour moi, le TEA de Digne les Bains, l’Enduro des Terres Noires…. Sans remontées mécaniques ! 😄🤣

Et encore quelques jours à Valloire, et une sortie au bikepark de La Grave avant la reprise !

  • 19 août

6 jours de Covid + 1 jour pour monter à Châtel + 3 jours de tournage et retour à la maison + 3 jours de montage/publications devant le PC + 1 jour pour remonter à Valloire = Tchouk is dead on his bike

Va falloir se réouvrir les bronches parce que j’ai la dump valve qui fait un drôle de bruit !

Vendredi dernier, j’étais tellement cuit sur le bord de la piste quand je filmais que j’ai pioncé par terre pendant le passage des Minimes. C’est un gamin (qui faisait la course) qui m’a réveillé pour me demander comment j’allais…

  • 20 août:

Montée au Grand Plateau à 2524m au dessus de Valloire Galibier .

Je voulais aller plus loin mais je me suis caillé avec le vent qui soufflait. Je suis donc redescendu par la Sapinière que les anciens compétiteurs de l’ES et l’EWS de Valloire reconnaîtront…

  • 21 août:

On se pèle en altitude, alors on se balade en forêt autour des Karellis, Albane, Albanette avec Guimart.

  • 22 août:

On est retournés rouler à La Grave-La Meije avec François. Il y a 2 ans, le Facteur avait adoré ce bikepark atypique pour plein de raisons. D’abord le dénivelé puisque lorsque tu prends la télécabine, tu pars pour 1000m ! Ensuite les pistes, qui ne sont pas classées par couleurs sur le plan, puisqu’elles sont toutes assez engagées et techniques sur le haut, très pentues et particulièrement longues, tout en conservant un caractère naturel et « enduro ».

Rouler à La Grave, c’est un peu un défi ! Et c’est très physique !

Sauf qu’à la différence d’il y a 2 ans, aujourd’hui, le second tronçon de la télécabine était ouvert, et on est montés jusqu’au glacier à 3200m pour se faire la descente de 1800m qui part de là-haut. Et franchement, cette descente est vraiment hardcore ! Il y a des passages très engagés dans les rochers et les dalles, avec parfois beaucoup de gaz sur le côté (bien plus que sur les chemins de la MOH de l’autre côté du glacier).

On l’a fait une fois. Pas sûr qu’on recommence un jour, mais quel décor, quelle ambiance, c’était de la haute montagne ! Du VTT de montagne !

On a d’ailleurs croisé un franco-belge là-bas, Joseph, qui a préféré venir avec nous plutôt que de rouler seul, et il nous a souvent épatés sur son semi-rigide Chromag Stylus en enchaînant les passages couillus !

À vrai dire, on n’était que 3 VTTistes aujourd’hui à La Grave, parmi de nombreux marcheurs, alpinistes, guides…

C’est vraiment un truc à part ce bikepark !

Au final, on n’a fait que 5 descentes, mais 4 de 1000m et 1 de 1800m…

J’ai encore mis mes plaquettes en fusion, mon disque arrière ressemble à une galette de pois chiche, j’ai mis 2 descentes avant de me sentir bien sur les zones trialisantes du haut, mais ça fait du bien d’évoluer dans cette inclinaison !

Merci à Joseph pour la bière Brasserie Galibier à l’arrivée. Bon choix ! Haha

Bon, avec le Facteur, c’était notre dernier entraînement avant les Mondiaux, on est prêts ! LOL

Vidéos TchoukTV // Finale De La Coupe De France // Châtel 2022

  • Team X1 Racing Commençal // Finale De La Coupe de France // Châtel 2022

Les 3 derniers jours se sont très bien passés pour les pilotes X1 Racing qui étaient à Châtel pour la manche finale de la Coupe de France, sur une nouvelle piste absolument magnifique !
– Till Alran remporte la catégorie Cadets de la manche (2è du général en Cadets) mais il termine surtout à la 4è place Scratch !
Lisa Bouladou remporte la catégorie Juniors Dames (et le général de la catégorie) et monte sur la 2è marche du podium Scratch Dames (où elle est aussi 2è du général). Elle sera évidemment dans la sélection française aux Gets pour les Mondiaux !
Loic Martin termine 2è Juniors (et 2è du général dans la catégorie) et 12è Scratch… Ticket validé pour les Mondiaux aux Gets dans un peu plus d’une semaine.
– Max Alran termine 5è Cadets (65è Scratch) avec des douleurs au pied.
Julien Piccolo termine 49è Scratch.
Martin Jouët-Pastré termine 114è.
Avec ces résultats, l’équipe monte sur la seconde marche du podiums des teams pour cette manche de Châtel (il faudra attendre la course des Orres pour avoir le classement général final des équipes).

  • VVR Academy // Finale De La Coupe De France // Châtel 2022

    Ce week-end, les pilotes VVR sont venus chercher le titre « team » sur la manche finale de la Coupe de France de Châtel. Le Champion de Suisse Yannick Baechler a réussi à monter sur la boite avec une belle 5è place Scratch, Elliot Vallon #99 (de retour après plusieurs grosses cascades cette saison) signe une excellente 9è place pendant que Johan Garcin termine 10è, lui assurant la 4è place au classement général de la Coupe de France 2022. Louis Gaillet termine à la 19è place alors que Marc Cabirou est 33è. Thomas Denizot termine 87è, Lucas Murraciole 136è, Vincent Jouvenal 206è pour son retour après opérations, et enfin, Guillaume Gravoulet est 220è (15è Master 3).
  • Scott-Manigod DH // Finale De La Coupe De France // Châtel 2022

    Pour cette 4è manche de la Coupe de France 2022, Valentin Chatanay est encore allé chercher la victoire de la course et aussi de la série puisqu’il a tout remporté depuis le début de la saison ! Avec seulement 9 centièmes d’avance sur le second au Scratch (Baptiste Pierron), Val’ montre encore une fois qu’il fait partie des « costauds » de la DH française et on le sait, il est capable de faire de belles places en Coupe du Monde, quand il en a le temps puisqu’il travaille dur (mécanicien sur les dameuses) quand il n’est pas sur le VTT !

Mathilde Bernard, sélectionnée pour les Mondiaux des Gets dans 10 jours, reprenait les courses sur cette épreuve de Châtel avec encore quelques douleurs au genou. Avec une honorable 4è place, sa reprise s’est bien passée.

Le sympathique Emile Rilat termine 26è de la course de Châtel avec un bon premier intermédiaire.

Raphael Épitalon, le team-manager du Team SCOTT-Manigod DH, termine à la 105è place pendant que Romain Chatanay reprenait tranquillement le VTT pendant les essais après une période de blessure.

Avec de tels résultats, la petite équipe monte sur la 3è marche du podium des teams lors de cette manche de Châtel.

Quelques jours de VTT à Valloire

  • Jour 1: 26 juillet

Montée aux 3 Lacs depuis Valloire Galibier (1410m). Je suis passé par le camp militaire des Rochilles puis, arrivé au Col des Rochilles (2496m) je suis tombé sur une équipe d’une quinzaine de highliners qui se séparaient en 2 pour monter sur des pics (le Pic de l’Aigle 2776m et la Pointe de la Fourche 2838m) espacés de 1,1km afin d’y tendre une highline qui passera au dessus du camp militaire, 300m plus bas.

Un des gars me disait que suivant le vent, vu la longueur, il est fort probable que la highline décrive un S voire un W…

Elle sera tellement haute qu’il faut d’abord poser des balises pour les avions.

Bref, si je peux, j’irai voir ça jeudi ou vendredi mais la météo semble moyenne pour le 2e jour…

Le premier des 3 lacs, celui du Grand Ban (2455m) est à un niveau que je n’ai jamais vu, même en octobre l’an dernier.

Une fois remonté au Col de la Plagnette (2525m), j’aperçois une highline entre 2 pics de L’Aiguille Noire, à presque 2870m. Elle a été installée la semaine passée pendant le Valloire Highline Festival.

Avec le vent, ça caille là-haut !

Dans la descente, je ne croise personne jusqu’à Valloire… Mais je dérange une vingtaine de marmottes !

23°c dans le village à 19h, quel luxe !

  • Jour 2: 27 juillet

Je suis monté voir les nouveautés du bikepark @valloirebike sur le massif du Crey du Quart. Il y a enfin, désormais, une piste verte pour les débutants sur la partie haute, sous le télésiège du Lac de la Vieille. Je l’ai trouvée assez cool ! Les bosses entre les virages relevés font très « pumptrack ».

Si seulement cette piste descendait jusqu’à Valloire !

Je suis descendu ensuite sur la piste de l’Aigle où des sauts sortent de terre puis j’ai pris la Wood qui est remplie de poussière vu la sécheresse. Il y a de chouettes évolutions sur le bas ! Bravo aux shappers, en espérant qu’il pleuve fort bientôt pour pouvoir tasser les nouveaux appuis et sauts au dessus du hameau du Col.

Je garde toujours un tracé à mon (sur-)nom. #jemelapète

Ça évolue bien !

  • Jour 3: 28 juillet

En balade à Poingt Ravier avec Éloy.

Je suis resté à l’ouest de Valloire Galibier pour un second ride avec une montée au Pain de Sucre (1981m) et une belle découverte de la piste d’enduro Mélèzia au dessus d’Albane/les Karellis (juste après Gros Mélèze, le plus gros d’Europe). Merci à Guimart le guide !

  • Jour 4: 30 juillet

Après une journée de pluie, off, et un passage au resto La Poutre hier pour faire une bonne réserve de cholestérol, je me suis fait une bonne après-midi de VTT jusqu’à la frontière des Hautes-Alpes…

Parti de Valloire Galibier (1410m), je suis d’abord monté, comme mardi, au Col des Rochilles (2496m). Sauf qu’après quelques bonnes sorties VTT ici, je ne suis pas monté à la même allure, j’ai les cannes ! Et sur la route entre les Verneys et Plan Lachat, j’ai fait râler quelques routards !

Aux Rochilles, je suis retombé sur la bande de highliners qui ont posé leur ligne de 1,1km, 300m au-dessus du Camp Militaire des Rochilles, mais personne ne marchait dessus aujourd’hui, trop de vent. En attendant, ils faisaient du jonglage et d’autres trucs de roots.

Je suis descendu au Lac du Gran Ban (2455m) pour remonter au Col des Cerces (2574m) pour revenir au Lac des Cerces (2410m) où on était jeudi.

Puis je suis remonté au Col de la Ponsonnière (2613m) où il y avait un vent terrible… Là, j’étais sur la frontière Savoie/Hautes-Alpes, AURA/PACA, ou encore Valloire/Serre-Chevalier, avec le Lac de la Ponsonnière et surtout le Grand Lac (2282m) en bas, et les pistes de Serre-Che au fond…

L’objectif était d’aller voir le Lac Blanc (2643m) sous le Grand Galibier. Avec ce vent, c’était vraiment compliqué de porter le VTT sur la crête mais en étant prudent, ça passait.

Un peu après la Crête de la Ponsonnière, à 2700m, on domine ce lac qui, à l’inverse du Lac du Gand Ban, est bien rempli ! Ça faisait plaisir !

Dans la descente, vers 18h, je n’ai croisé personne jusqu’aux Cerces…

Ça fait une belle sortie de 1500-1600m.

  • Jour 5: 31 juillet

Bon baaahhh je suis remonté au Pain de Sucre (1981m) au dessus de Valloire Galibier (1410m) mais ce coup-ci j’y suis allé avec Éloy qui avait ce sommet comme objectif… Sauf que je l’ai fait passer par le chemin de l’Écherenne, puis Albane, le Lac de Pramol, La Plagne… Une petite sortie de 750m de d+ avec des bons portages.

Il en a bavé mais il l’a fait !

Il pensait aussi descendre le Pain de Sucre tout droit sur son sommet… Mais là ça s’est moins bien passé. Il s’est pris une bonne tôle dès le départ, sans se faire mal heureusement !

Dans la descente vers Poingt Ravier puis Valloire, il était prudent ! LOL

De belles images de DH VTT