Découverte du Bikepark des Orres

On s’est mis la mission avec les copains, aller-retour aux Orres dans la journée (hier) pour rouler sur le bikepark closing.

Et puis tout cela a été presqu’improvisé au dernier moment, et franchement, aucuns regrets ! J’ai découvert ce bikepark puisque je n’étais pas allé là-bas depuis le début des années 2000 et c’est vraiment une pépite ! Il y a 3 télésièges et beaucoup de pistes variées, et très bien tracées. On s’est éclatés toute la journée avec François, JDidier, Florent, Adri, Guillaume et vu que c’était le dernier week-end, j’ai croisé plein de monde: Gaël Gawa, Tya, Chris, Damien, j’ai aperçu Anne-Caro Chausson… etc

Et malgré tout le monde, on a très peu fait de queue aux télésièges. C’est vraiment un super bikepark et on se remettra la mission l’année prochaine ! Et cerise sur le gâteaux, une grande partie des vaches sur place sont des Salers ! Les vaches de chez moi ! #cantal

Le Grand Tchouk au Grand Delmas

Ça faisait un moment que je n’étais pas allé en montagne, derrière la maison, mais là, je suis parti d’un peu plus loin que d’habitude ! En effet, je suis allé jusqu’à Saint-Nazaire Le Désert (560m) en voiture pour ensuite monter jusqu’au sommet de la Montagne de Couspeau en passant dessous, côté nord. Le sommet de cette montagne, c’est le Grand Delmas à 1544m. La montée se fait d’abord sur une petite route de campagne jusqu’à Rochefourchat, puis ensuite sur un chemin de 4×4 bien lisse, mais à partir de la Fontaine du Corps, le portage est vraiment costaud ! Le VTT sur le dos et une main parfois au sol sur 200m de d+.

Au sommet du Grand Delmas, je me suis retrouvé seul (j’ai juste croisé 2 randonneurs qui en descendaient). Là-haut, on domine d’abord le Col de la Chaudière et on fait face aux 3 Becs, tous proches. Mais la vue à 360° permet de jeter un grand coup d’œil sur les montagnes que j’ai déjà monté: le Mont Rachas, La Lance, le Cougoir, Le Mont Ventoux au fond, Miélandre, Angèle, au loin les sommets du Dévoluy (dont le Plateau de Bure), puis ceux du Vercors avec le Mont Aiguille, les falaises qui entourent la forêt de Saou, la vallée du Roubion… etc

C’est tellement bon d’être là-haut après 10 jours à repasser dans la 4è dimension sanitaire…

Du sommet du Grand Delmas, je suis donc parti pour rouler sur la crête de la Montagne de Couspeau pendant plusieurs kilomètres, en oscillant entre 1430m et 1516m. Ce n’est pas toujours facile de rouler dans les cailloux et les grandes herbes sèches.

J’ai profité du passage de deux randonneurs au niveau de la Bergerie du Pré Du Bœuf par passer discrètement sans être vu par les Patous… Quand je me suis retourné, les randonneurs couraient très vite ! LOL

Pas un bruit là-haut, juste quelques petits coups de bise, et le bruit des herbes sèches qui jouent de la guitare avec les rayons de mes roues.

En bas de La Violette, je trouve le chemin qui redescend à Saint-Nazaire Le Désert. Gaëtan l’a fait la semaine passée (mais il n’est pas monté par le même chemin que moi) et il m’a dit qu’il était génial. C’est parti pour 900m de descente en passant par les Pradaux où je bénéficie d’une petite source pour me désaltérer. Le single est assez pentu et fluide, avec quelques passages techniques (des épingles) mais effectivement, il est super ! La Crête de Serre La Croix est un très bel endroit et plus je descends, plus il y a de cailloux. Avant de rejoindre le chemin 4×4 du Pré Neuf, il y a 5-6 épingles remplies de cailloux, pas simple !

De retour à Saint-Nazaire Le désert, je tombe sur un petit rassemblement de voitures de collection du club montillien, j’adore !

J’ai trouvé le profil complet de la rando que j’ai fait là.

Le Buldocrew Bikepark de Saint-Sorlin d’Arves

J’avais regretté de ne pas avoir pris le temps d’y aller l’an dernier, alors aujourd’hui avec le Facteur, on est allés voir les pistes du BuldoCrew à Saint-Sorlin d’Arves de l’autre côté des Aiguilles d’Arves (puisqu’on est à Valloire).

Arrivés là-bas, premier constat, c’est super beau ! Et en haut du télésiège, c’est dément ! Les Aiguilles d’Arves, la Meije qui dépasse au loin, le Glacier des 2 Alpes, les montagnes des Sybelles… etc Au programme de la journée, seulement 3 pistes: une bleue, une rouge (qui se dédouble sur le bas) et une noire… Mais surtout, un dénivelé de presque 700m (le télésiège est long !) et cela, pour seulement 16,60€/jour de 10h à 16h non-stop !

D’entrée de jeu, on prend la bleue et en quelques centaines de mètres, on devient fou: c’est hyper-bien shapé, c’est très rapide et on s’éclate tout le long ! Fun fun fun jusqu’en bas !

Sur la rouge, il y a un peu plus de pente mais la piste conserve le profil « bikepark » de la bleue, avec des appuis relevés et lisses, quelques sauts à tirer, puis dans la forêt les lignes se resserrent mais restent toujours ludiques et rapides. Géniale !

Sur la noire, c’est différent, le tracé est plus « enduro », moins large et dans la pente, dans un goulet en terre grasse où je fais fumer les plaquettes. Il y a quelques épingles engagées sur le bas et une fin plus technique dans la forêt.

Après avoir testé tous les tracés, on se cale au restau d’en bas pour s’enquiller un hamburger avant de rejoindre les locaux qui nous guident sur une « freeride » en bas de la bleue. Il s’agit d’un « tracé roue arrière presque bloquée » dans l’herbe avec de bonnes ruptures de pente. Marrant !

Au final, on aura fait 10 rotations soit presque 7000m de D- mais concrètement, on a fini la journée sans avoir eu l’impression de faire tant de D-, sans avoir une grosse fatigue dans les bras et les cuisses car les pistes sont tellement bien shappées qu’on ne se fait pas secouer ! A Saint-Sorlin, il n’y a pas de de trous de freinage, pas de cailloux qui trainent (sauf dans les sections naturelles en forêt, sur le bas, là où la vitesse est moins élevée et surtout là où tu t’attends à te faire secouer) et c’est sûrement grâce au travail des shapers volontaires et positifs qu’on a rencontré. Par contre, en ce moment, il y a de la poussière vu comme c’est sec !

Après la dernière montée en télésiège, on est descendus par un sentier de rando/enduro qui fait le tour de la montagne, « le Tour de la Balme » qui est technique et rocailleux sur le haut, physique et avec des « coups de culs » sur le milieu, et super fluide et amusant sur sa seconde moitié. Je vous recommande ce petit bikepark ! Il n’y a pas besoin de plus pour s’éclater sur une journée ! (Il manquera juste quelques gros sauts/passerelles pour les freestylers… Que je ne suis pas).

J’y retournerai et François aussi ! (Attention, ça ferme le 26 août).(Merci à Alex Rousseaux de mettre des images de ce bikepark sur mon mur !)

4 jours de ride à Valloire avec mon nouveau Firebird 29

  • Jour 1: Premier ride avec mon nouvel « oiseau de feu », une petite sortie de 700m de d+ en soirée… De la régalade ! Je ne suis pas dépaysé par rapport à mon ancien Firebird 29 v1, mais je trouve celui-ci un peu plus maniable, pourtant il est plus long ?! Surprenant !

Bon bah, il va falloir continuer les investigations demain, après-demain, après-après-demain… etc

(Pour ceux qui connaissent Valloire: Le Serroz puis montée à Pémian à 2000m pas très loin de la neige mais au milieu des moutons et des patous donc descente par Les Balais)

  • Jour 2: Une bonne montée au Pas des Griffes (2554m) en partant de Valloire (1410m) et en passant par le Crey du Quart et le Grand Plateau (2524m).
    Ça fait bizarre de terminer par l’ancienne spéciale du dimanche matin des 9 anciennes Enduro Series et de l’EWS de 2014… Je n’ai pas croisé un seul VTT.
    Là-haut, il n’y a que le bruit du vent, et je n’ai croisé que quelques vaches en descendant. J’adore ce décor !
  • Jour 3:

Juste un petit tour avec Guimart parce que demain matin, je vais me faire plier par les copains de la vallée et le Facteur !
Il y a des petites myrtilles partout !

  • Jour 4: On est allés de l’autre côté de la Vallée de la Maurienne avec le Facteur, pour rejoindre « Loulette » à Beaune (presque 1330m), au dessus de Saint-Michel de Maurienne.
    De ce côté de la vallée, on est derrière Val Thorens, là où c’est ultra-sauvage, là où il n’y a pas de station de ski, pas vraiment de tourisme.
    Du coup, guidés par Loulette, on est montés sur 1200m cumulés, jusqu’au Plateau de Bellecombe (2373m) avec les 2 Antoine de Sport 2000 Saint-Jean.
    Franchement, là-haut, c’est magnifique et on a croisé personne ! Tu te retrouves vite face à la Barre des Ecrins, la Meije, le Galibier, les Aiguilles d’Arves, les domaines skiables de Valmeinier, Valloire, Albanne/Les Karellis, et de l’autre côté, bien plus proche, la Croix des Têtes, le Peyron des Encombres, le Mont Brequin… etc Et tu domines toute la vallée.
    Puis on a basculé dans la descente sur un single incroyable avec, sur le haut, un tracé dans l’herbe et fluide, puis dans la forêt avec plus de pente, des passages techniques, puis plus bas, des singles en terre avec des virages relevés naturels, de la vitesse, des petits pierriers (gras), jusqu’à Mollard Durand à 850m.
    C’était clairement une des plus belles descentes enduro que je connaisse, avec une variété folle sur les 1500m de d-. On a d’ailleurs fait la fin avec un autre « local » Pyl Ou et 2 autres riders.
    C’était vraiment trop bon et on s’est promis d’y retourner avec François !

Mon nouveau Firebird 29 v2 full Öhlins

Voilà mon 8è Pivot Cycles, un magnifique Firebird 29 v2 en taille XL avec quelques changements dès son montage: les suspensions Öhlins Racing – Mountain Bike et la tige de selle BikeYoke 213mm.

Voilà d’abord des images du nouveau cadre, présenté aujourd’hui pour la première fois all over the world and dans mon jardin ! Pour les caractéristiques techniques, il suffit d’aller là.
Par contre, de mon point de vue, il y a des changements qui ne sont pas forcément signalés et dont je peux vous parler ici (et pas juste l’amortisseur placé à la verticale, libérant la place pour un porte-bidon) :

– la patte de dérailleur est toute nouvelle (en composite ?). Peut-être qu’elle est comme ça sur les Switchblade ou Mach 6 mais si c’est le cas, je ne le savais pas.

– les protections de cadre sont plus étalées sur le triangle avant et le triangle arrière, et mieux pensées. #nice

– il y a une protection sur le triangle arrière pour éviter de le marquer avec le disque lorsqu’on sort/rentre la roue #pascon

– je pèse mon cadre (XL) à 3,596g avec l’axe de roue arrière + patte de dérailleur + collier de TDS + amortisseur Fox Float X2 Factory #weight

– Suivant l’orientation de la lumière, on distingue ou non les reflets verts de cette couleur Glacial Green Metallic que j’adore déjà ! (Surtout que je savais juste que je ne recevrais pas le modèle orange)

Pour le bike check du vélo complet, c’est là.

Je me suis aussi rendu compte au montage que le routing des câbles/gaines est amélioré par rapport au Firebird 29 v1.
Pour le reste des nouveautés, changements, en plus de ce que j’ai déjà posté précédemment, je crois que tout est dans la presse, sur les sites internets dédiés.


Direction la montagne, rapidement, pour rouler sur cette bête ! Et franchement, je ne vois pas comment cela va pouvoir être mieux que le v1 avec lequel j’ai tout fait, de la petite rando à l’Epic Enduro en passant par du bikepark, de la DH, la Mountain Of Hell, de très grosses sorties… etc Déjà, le coup de la gourde, c’est quand même bien ! Mais je vois dans les valeurs que le reach et le stack ont encore augmenté, c’est plutôt bien pour une grande pieuvre comme moi ! Je vous en dis plus bientôt ! Merci à Mohawk’s Cycles une nouvelle fois, ainsi qu’à Xoneracing Suspension.

Et baaawwww, Bike Of the Day sur le site américain Vital MTB seulement 3h après l’avoir posté, et partage sur la page facebook de Pivot Cycles:

De belles images de DH VTT